Le pessimisme sape l’estime de soi, la confiance dans ses ressources et dans le futur, par des généralisations négatives ou des fixations sur des blessures ou des échecs. Comment y remédier ? 5 clés.

  1. Se servir du pessimisme.
  2. Raisonner en positif. 
  3. Faire avec la réalité. 
  4. Savourer sa vie. 
  5. Questionner ses regrets.




  • Le pessimisme, contrairement à ce que l’on croit, ne concerne pas seulement l’avenir. Il s’étend aussi au passé. Par le biais de généralisations négatives ou de fixations sur des blessures ou des échecs, il sape l’estime de soi, la confiance dans ses ressources et dans le futur. Se tourner vers son passé pour y extraire des moments de bonheur, de réussite ou de simple bien-être est la première étape pour pouvoir réécrire une autobiographie plus juste.
  • Certains regrets sont à déconstruire, pièce par pièce. Il est nécessaire de recontextualiser l’objet du regret (de quel désir était-il le fruit ? À quelle époque de notre vie s’est-il manifesté ? Qu’est-ce qui l’a fait échouer ? Qu’aurions-nous pu faire pour réussir ?) puis de le réactualiser (est-il encore réalisable aujourd’hui ? À quelles conditions ? Qu’est-ce que cette réussite nous apporterait ? Est-on certain de la désirer autant et que rien d’autre ne nous apporterait les mêmes bénéfices ?). Ce questionnement a le mérite de nous sortir du fantasme et d’une position passive, et de nous remettre face à notre désir actuel.

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