Préparer des gâteaux est aussi bon pour votre santé mentale que la méditation (par un professeur agrégé de psychologie et des sciences du cerveau à l'Université de Boston).


Bake", en anglais, c'est un mot un peu fourre-tout qui signifie à la fois faire des gâteaux, du pain, des viennoiseries ou encore cuire au four. En français, on pourrait traduire le terme par préparer des douceurs. On parle souvent du bonheur d'un gâteau à la dégustation, mais rarement du plaisir procuré par sa confection. Préparer quelque chose, pétrir, mélanger, mesurer, faire lever, dorer : en fait, mettre la main à la pâte, littéralement, aurait des effets positifs bien plus profond que le goût du chocolat sur notre mental.
Une journaliste du Huffington Post a vérifié cette affirmation auprès de psychologues. Tous confirment : la cuisine nous fait du bien. Autant que la méditation, pour les yogis à qui cela parle. Quand on médite, on se donne un moment pour réfléchir à notre corps et à notre environnement en pleine conscience. Apparemment, la pâtisserie-boulangerie a le même bienfait : soulager le stress. Comme l'explique Donna Pincus, professeure associée de sciences psychologiques et neurologiques à l’université de Boston. 
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