Comment ne pas juger les autres ? Prenez conscience des histoires que vous vous racontez... et que vous êtes la seule personne capable de mettre fin à votre propre souffrance (une auteure inspirante Katie Byron)




Vous êtes la seule personne capable de mettre fin à vos propres souffrances. Katie Byron.

Une grande partie de nous souffrances provient de pensées, croyances sur soi-même ou sur les autres. "Les autres devraient être comme cela ou dire ou faire cela". Ce sont des schémas automatiques de pensées qui résulte de croyances ancrées souvent depuis l'enfance.
Or toute pensée que nous répétons et qui engendre de la souffrance mérite d'être réévaluée.

Byron Kathleen Mitchell (née Reid), mieux connue sous le nom Byron Katie, née le , est une auteure et conférencière américaine qui enseigne une méthode d'auto-questionnement connue sous le nom « Le Travail de Byron Katie » ou plus simplement « Le Travail » (« The Work »). Elle a mis au point 4 questions pour réévaluer une pensée sur les autres.

« Derrière chaque sensation désagréable se cache une pensée qui n’est pas vraie pour nous », affirme Byron Katie. Lorsque vous ressentez un malaise, menez un travail d’investigation : soumettez votre pensée à quatre questions, toujours les mêmes. N’hésitez pas à vous munir d’une feuille et d’un crayon, ou à vous adresser à un proche.

A propos de cette pensée, demandez-vous :

  1. - “Est-ce vrai ?” Ecrivez ou énumérez différents développements de cette pensée.

    2. - “Pouvez-vous absolument savoir si c’est vrai ?”
Avez-vous des preuves concrètes de ce que vous avancez ? Si oui, lesquelles ? Quels éléments vous permettent d’affirmer cela avec certitude ?

    3.- “Quelle réaction suscite en vous cette pensée ?”Entrez en contact avec les sentiments que fait naître en vous cette pensée. Quels comportements en découlent ?

    4. - “Qui seriez-vous sans cette pensée ?” Imaginez-vous libéré d’un tel scénario. Que feriez-vous de différent ? Comment cela changerait-il ?

Retournez votre phrase votre phrase. Plusieurs types d’inversions sont possibles : on retourne le jugement vers soi-même, vers l’autre et vers son contraire. Exemple : « Paul devrait m’aimer » peut devenir « Je devrais m’aimer », « Je devrais aimer Paul », « Paul ne devrait pas m’aimer. » Inversez l’affirmation initiale à votre guise jusqu’à ce que vous trouviez l’inversion qui vous touche le plus.

👉A lire : "Aimer ce qui est " https://www.babelio.com/livres/Katie-Aimer-ce-qui-est/87831 et site en- 1- mot : https://www.en-1-mot.com/byron-katie-aimer-ce-qui-est/

👉En vidéo : "Les relations : Aimer ce qui est. Byron Katie" 11.12.2018